Je n'ai pas grand chose de palpitant à raconter en ce moment, pour la bonne raison que j'ai mis un coup d'accélérateur à mon master 2 en général et à mes recherches bibliographiques en particulier, et que je n'ai rien à dire, à part me plaindre encore de ne pas trouver cette ###§§§§§!!!!!!!!!! de revue espagnole avec un homonyme italien, qui n'est même pas à la BNF (enfin, si, ils ont le numéro 7, mais pas le 8, dont j'ai précisément besoin ; pour info, j'ai lâché l'affaire avec les Russes), ce que j'ai déjà fait ici en long, en large et en travers.
Je vais donc continuer ma revue des bibliothèques, puisque j'en ai déjà fait pas mal (en plus, demain, il faut que j'aille à celle de la Sorbonne : ceux qui y ont déjà mis un pied sont compatissants ("bon courage : c'est la seule bibliothèque où j'ai toujours eu un mal de chien à avoir un document", m'a dit hier un camarade nanterrien) ; ceux qui n'y ont jamais mis les pieds le seront bientôt, quand j'aurai publié un billet sur ma visite d'aujourd'hui).
Aujourd'hui, je suis donc allée faire un tour à la BU de Nanterre, où j'avais déniché une revue présente absolument nulle part (comprendre : dans aucun autre endroit où elle me serait facile d'accès ; comprendre : pas à la bibliothèque d'Ulm, donc ; mais, pour info, elle n'était pas à la Sorbonne non plus). J'ai rapidement compris pourquoi : la série d'articles sur la rumeur qu'elle contenait tenait plus de la causerie au coin du feu que du travail scientifique et même si Marcel Detienne m'a donné un bon aperçu de ce qu'évoque le mot "rumeur" dans la pensée grecque, ça n'avance pas du tout mon schmilblick romain.
Reste donc que j'ai passé deux heures à la BU, dans un cadre assez agréable, années 70/80. J'avais un peu l'impression d'être dans une sorte de réplique géante de la bibli où j'allais avec ma mère et mes frères quand j'étais petite. C'est d'ailleurs le problème de cette bibliothèque : les gens de l'admin' sont sympas, mais elle est immense ! Vous me direz "bah oui, c'est normal, c'est une BU" ; ouais, sauf que moi, la seule que je connaisse (plus ou moins), c'est celle de la Sorbonne, qui n'est pas aussi grande (mais qui a des étagères en bois et une salle très "tradi" : ça compense).
Je milite donc pour qu'ils mettent ici et là de jolis petits plans, parce que leurs vagues flèches indiquant la salle "Littérature et langages", c'est sympa, mais une fois qu'on y est arrivé, on a totalement oublié comment on fait pour retourner à l'accueil récupérer les bouquins qu'on a commandés ! «Bon, alors, j'ai monté un escalier, donc il faut que j'en descende un... Merde ! Je suis où ? Les panneaux m'indiquent la sortie, mais je fais comment pour trouver l'entrée ?"» C'est là où la carte "Vous êtes ici" m'aurait bien aidée... J'ai erré une bonne dizaine de minutes avant de retrouver la Voie.
Tout ça pour dix pages intéressantes, soixante pages pas utiles : la recherche biblio, parfois, c'est pô très gratifiant...
Je vais donc continuer ma revue des bibliothèques, puisque j'en ai déjà fait pas mal (en plus, demain, il faut que j'aille à celle de la Sorbonne : ceux qui y ont déjà mis un pied sont compatissants ("bon courage : c'est la seule bibliothèque où j'ai toujours eu un mal de chien à avoir un document", m'a dit hier un camarade nanterrien) ; ceux qui n'y ont jamais mis les pieds le seront bientôt, quand j'aurai publié un billet sur ma visite d'aujourd'hui).
Aujourd'hui, je suis donc allée faire un tour à la BU de Nanterre, où j'avais déniché une revue présente absolument nulle part (comprendre : dans aucun autre endroit où elle me serait facile d'accès ; comprendre : pas à la bibliothèque d'Ulm, donc ; mais, pour info, elle n'était pas à la Sorbonne non plus). J'ai rapidement compris pourquoi : la série d'articles sur la rumeur qu'elle contenait tenait plus de la causerie au coin du feu que du travail scientifique et même si Marcel Detienne m'a donné un bon aperçu de ce qu'évoque le mot "rumeur" dans la pensée grecque, ça n'avance pas du tout mon schmilblick romain.
Reste donc que j'ai passé deux heures à la BU, dans un cadre assez agréable, années 70/80. J'avais un peu l'impression d'être dans une sorte de réplique géante de la bibli où j'allais avec ma mère et mes frères quand j'étais petite. C'est d'ailleurs le problème de cette bibliothèque : les gens de l'admin' sont sympas, mais elle est immense ! Vous me direz "bah oui, c'est normal, c'est une BU" ; ouais, sauf que moi, la seule que je connaisse (plus ou moins), c'est celle de la Sorbonne, qui n'est pas aussi grande (mais qui a des étagères en bois et une salle très "tradi" : ça compense).
Je milite donc pour qu'ils mettent ici et là de jolis petits plans, parce que leurs vagues flèches indiquant la salle "Littérature et langages", c'est sympa, mais une fois qu'on y est arrivé, on a totalement oublié comment on fait pour retourner à l'accueil récupérer les bouquins qu'on a commandés ! «Bon, alors, j'ai monté un escalier, donc il faut que j'en descende un... Merde ! Je suis où ? Les panneaux m'indiquent la sortie, mais je fais comment pour trouver l'entrée ?"» C'est là où la carte "Vous êtes ici" m'aurait bien aidée... J'ai erré une bonne dizaine de minutes avant de retrouver la Voie.
Tout ça pour dix pages intéressantes, soixante pages pas utiles : la recherche biblio, parfois, c'est pô très gratifiant...
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