Comment vous dire...? Vous voyez ces journées où toutes les tuiles s'accumulent ? Eh bien c'est celle que j'ai eue aujourd'hui.
La matinée n'était pourtant pas mal : j'ai fini Auguste, commencé Tibère, recopié les notes que j'ai prises au colloque d'hier (oui, je sais, j'aurais mieux fait de les prendre directement sur ordinateur : c'est une étape que je n'ai pas encore franchie, mais ça va venir, parce que ce petit divertissement me fait perdre du temps).
A partir de midi, galère.
D'abord, en rentrant des courses, je tombe sur une affiche sur la porte d'entrée : "En raison du remplacement d'un transformateur, nous vous annonçons qu'il y aura une coupure d'électricité générale vendredi 4 de 6h à 8h". Ooooh...!!! Comme cet horaire est bien choisi ! C'est vrai que ce n'est pas du tout le moment où les gens ont besoin d'entendre leur réveil sonner, prendre leur douche, petit-déjeûner, tout ça à une période de l'année où, précisément, il fait NOIR, maintenant, de 6 à 8...! Et c'est qui qui doit se lever à 6h le vendredi...? C'est Bibi !!!
La série noire continue ensuite sur le plan de la cuisine : tous les mercredi, nous faisons un repas commun que chacun prépare à tour de rôle. Cette semaine, c'est moi et comme je n'avais pas d'idée de recette, je m'en suis fait conseiller une. Une vraie réussite, je dois l'avouer : non seulement j'ai réussi à repeindre presque intégralement les murs de la cuisine en fouettant le mélange avec le batteur électrique de mon voisin (tout ça pour un truc qui n'a pas monté d'un pouce), mais en plus le mélange en question s'est révélé tout bonnement dégueulasse. Immangeable. Ruée sur les oeufs vendus à Monop' pour se rabattre sur un gâteau au yahourt ; grosse grosse perte de temps et quand j'essaie de profiter des quarante petites minutes qui me restent avant de devoir partir pour Paris X, la perceuse se met de la partie.
Donc, après-midi très peu productif (sauf en terme de peinture des murs de la cuisine), qui se termine sur le cours de mon directeur à Nanterre. La semaine dernière, je lui avais confié la lettre de recommandation à faire pour la Bnf ; il devait me la rendre aujourd'hui ; il avait oublié. Mais bon, c'était ma faute, aussi, j'aurais dû le lui rappeler hier ; aussi j'avais prévu la Chose et préparé un autre formulaire, dûment rempli et n'attendant plus que la signature. Il s'exécute et c'est là que nous nous rendons compte qu'il faut un tampon. "Mais, je n'ai pas de tampon, moi ! C'est bête, vous me l'auriez dit avant, on serait passé au secrétariat ! Maintenant, tout est fermé." L'espace d'un instant, la perspective de me faire refouler juste pour un tampon me rend muette. Heureusement, mon chef en dégotte un dans son bureau. Halléluïa, je l'ai échappé belle.
Mais quand même, quelle journée de merde !
Demain, c'est Bnf, donc : je me demande ce qu'ils vont encore m'inventer...!
La matinée n'était pourtant pas mal : j'ai fini Auguste, commencé Tibère, recopié les notes que j'ai prises au colloque d'hier (oui, je sais, j'aurais mieux fait de les prendre directement sur ordinateur : c'est une étape que je n'ai pas encore franchie, mais ça va venir, parce que ce petit divertissement me fait perdre du temps).
A partir de midi, galère.
D'abord, en rentrant des courses, je tombe sur une affiche sur la porte d'entrée : "En raison du remplacement d'un transformateur, nous vous annonçons qu'il y aura une coupure d'électricité générale vendredi 4 de 6h à 8h". Ooooh...!!! Comme cet horaire est bien choisi ! C'est vrai que ce n'est pas du tout le moment où les gens ont besoin d'entendre leur réveil sonner, prendre leur douche, petit-déjeûner, tout ça à une période de l'année où, précisément, il fait NOIR, maintenant, de 6 à 8...! Et c'est qui qui doit se lever à 6h le vendredi...? C'est Bibi !!!
La série noire continue ensuite sur le plan de la cuisine : tous les mercredi, nous faisons un repas commun que chacun prépare à tour de rôle. Cette semaine, c'est moi et comme je n'avais pas d'idée de recette, je m'en suis fait conseiller une. Une vraie réussite, je dois l'avouer : non seulement j'ai réussi à repeindre presque intégralement les murs de la cuisine en fouettant le mélange avec le batteur électrique de mon voisin (tout ça pour un truc qui n'a pas monté d'un pouce), mais en plus le mélange en question s'est révélé tout bonnement dégueulasse. Immangeable. Ruée sur les oeufs vendus à Monop' pour se rabattre sur un gâteau au yahourt ; grosse grosse perte de temps et quand j'essaie de profiter des quarante petites minutes qui me restent avant de devoir partir pour Paris X, la perceuse se met de la partie.
Donc, après-midi très peu productif (sauf en terme de peinture des murs de la cuisine), qui se termine sur le cours de mon directeur à Nanterre. La semaine dernière, je lui avais confié la lettre de recommandation à faire pour la Bnf ; il devait me la rendre aujourd'hui ; il avait oublié. Mais bon, c'était ma faute, aussi, j'aurais dû le lui rappeler hier ; aussi j'avais prévu la Chose et préparé un autre formulaire, dûment rempli et n'attendant plus que la signature. Il s'exécute et c'est là que nous nous rendons compte qu'il faut un tampon. "Mais, je n'ai pas de tampon, moi ! C'est bête, vous me l'auriez dit avant, on serait passé au secrétariat ! Maintenant, tout est fermé." L'espace d'un instant, la perspective de me faire refouler juste pour un tampon me rend muette. Heureusement, mon chef en dégotte un dans son bureau. Halléluïa, je l'ai échappé belle.
Mais quand même, quelle journée de merde !
Demain, c'est Bnf, donc : je me demande ce qu'ils vont encore m'inventer...!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire