On dirait que les vendredi ne me sont pas particulièrement propices, qu'ils soient le 13 du mois ou non. Ou alors c'est que, la fin de la semaine arrivant, je tente de la faire coïncider avec une articulation majeure de mon plan de thèse et me fixe donc un programme délirant qui me scie les pattes avant même d'avoir commencé. Ajoutez à cela que je regagne mes pénates ce week-end pour cause d'anniversaire de mes deux frères et que je ne vais donc vraisemblablement rien faire pendant deux jours (ou alors pas grand chose) et vous obtiendrez un cocktail détonnant.
Dans mes rêves les plus fous, donc, je finissais aujourd'hui mon chapitre 2, c'est-à-dire que je finissais de rédiger mes analyses de termes et y raccrochais la partie sur les citations nominales d'auteurs (oui, dans mon corpus, j'ai des exemples - peu, mais quelques-uns - où mes auteurs sont cités nommément et pas uniquement avec des dicitur), que j'ai rédigée cet été, avant de décider qu'elle serait mieux en fin de chapitre, et que j'ai donc mise de côté en attendant d'avoir écrit ce fameux chapitre.
Le résultat des courses, c'est que je n'ai pas fait grand chose ce matin, que je suis allée signer mon contrat dans ma nouvelle fac cet après-midi, que j'ai travaillé 1h30 en rentrant, que je suis ensuite allée courir en profitant d'un répit dans la bruine et que, après une douche et la disparition des endorphines, j'ai mis un certain temps avant d'être de nouveau d'attaque. Mais bon, ça m'a fait du bien de m'aérer la tête, j'ai fini mes analyses de verbes et, de toute façon, mes citations nominales ont besoin d'un chouïa de préparation en plus avant d'être raccrochées à mon chapitre, étant donné que je peux difficilement en parler sans examiner aussi les passages où ces auteurs sont utilisés mais sans être cités nommément.
Chouette. Encore des relevés à venir.
Mais ce sera pour demain matin. Là, mes jambes et mes neurones réclament un bouquin, une couette bien chaude et un lit.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire